Les fans de BIGBANG peuvent désormais se rassurer. Ses détracteurs ne seront parvenus qu’à brasser du vent en ressortant de vieux dossiers.
Si G-Dragon a fait la Une suite à un scandale l’impliquant dans une affaire de drogue, les plus grandes chaînes de télévision coréennes ont annoncé qu’elles n’ajouteraient pas le chanteur à leur blacklist.
Bien que les résultats du test aient été révélés positifs en juillet, le chanteur n’avait pas été poursuivi puisque les traces étaient minimes et qu’il s’agissait d’une première. Les circonstances prouvaient que le membre du boysband avait fumé inconsciemment, sans savoir qu’il s’agissait de cocaïne. Il n’avait d’ailleurs nié les faits à aucun moment. KBS, MBC et SBS ont donc officiellement déclaré qu’elles n’avaient pas de raison de bannir G-Dragon de leurs émissions. Douze artistes avaient déjà été blacklistés par KBS et MBC dans le passé pour des raisons similaires. On compte parmi eux Oh Kwang Rok, Yoon Sul Hee, Jun In Kwon, Ju Ji Hoon et Crown J.
Du côté japonais, rien en vue également. Les sites de news habituels n’ont pas dévoilé cette histoire au public. Ils continuent au contraire de faire la promotion de BIGBANG en annonçant un album best-of pour le 23 novembre. Les débuts japonais de GD&TOP ne semblent donc pas non plus compromis.
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